Il est assez rare que Caro et moi nous retrouvions tous seuls. Ce soir là, ses parents avaient eu la riche idée de nous garder les enfants si bien que la première idée qui nous vint en tête fut de sortir illico manger un bout dehors. Evidemment, hormis le plaisir culinaire que procurent ces escapades estivales, elles sont aussi un prétexte pour nous livrer à nos petits jeux coquins qui agrémentent notre vie de couple.

Rentré plus tôt qu'elle du travail, je me détends tout en réfléchissant au scénario que j'allais bien pouvoir lui proposer. Je me connecte tout de go sur un forum pour tester l'imagination de mes complices en leur demandant de me "proposer" un scénario pour la soirée. Mais comme l'on n'est jamais mieux servi que par soi-même, je me mets à écrire la mise en scène. Je décide tout d'abord de demander à ma femme de s'épiler complètement le sexe. Pour ce faire, à l'aide de son crayon noir à maquillage, j'inscris sur le carreau de la douche "Rase-toi la chatte chérie ! Tu sors sans culotte ce soir !". Je lui laisse en revanche le soin de choisir elle-même la tenue dans laquelle elle sera la plus désirable possible. Je dois dire que je ne suis pas déçu en la voyant sortir de notre chambre avec une splendide robe légère en mousseline dont la transparence cachait mal une doublure plus que courte au niveau de son entre-jambes.  Je n'ai pas besoin de vérifier, je sais qu'elle a accédé à ma demande et que sa chatte doit être parfaitement lisse.

   Appareil photo en bandoulière, nous voilà sortis pour la ville  effervescente en ce soir d'été.  Nous nous baladons main dans la main le long du bord de mer et sa féminité ne laisse perso nne indifférent. Les hommes doivent sentir ce que nous dégageons : un appétit sexuel débordant et une envie coquine de jouer pour faire tomber de nouveaux tabous. Des regards tentent d'épier ce que tente de dissimuler la transparence de sa robe et cela m'excite au plus haut point. 

Nous décidons de nous installer à la terrasse d'un café-restaurant équipé de tables et chaises hautes. J'imagine déjà les clichés que je prendrai et mon choix se porte donc vers ces mêmes tables. Après un bon verre de vin blanc, je sors mon appareil photo et me positionne face à elle en lui demandant discrètement d'écarter les cuisses.

Le flash et le fait que j'ai quitté la table pour la photographier ne laisse personne indifférent. Mais Caro n'est pas encore débridée. Nous quittons le restaurant pour nous installer sur les futons d'un glacier. En mode "déclencheur", je pose l'appareil sur le rebord d'une table basse et demande à ma femme d'écarter les cuisses. L'envie de baiser brûle en elle mais je ne renonce pas à mon fantasme du jour : jouer les touristes et demander naïvement à un parfait inconnu de nous prendre en photo après avoir demandé à Caro d'écarter ses cuisses au moment du clic. Elle hésite car elle a peur mais après l'avoir rassuré elle accepte enfin. Nous prenons encore quelques clichés sur un banc avant de regagner notre véhicule.

C'est alors que nous rencontrons par chance un jeune homme à qui je demande ouvertement de nous photographier "pour le souvenir". Trouvant le décor un peu glauque (un parking assez délabré) il nous demande si le décor "convient".

"C'est toute une histoire" rétorque Caro qui entre temps a soulevé légèrement la doublure de sa robe pour régaler notre photographe. " Puisque c'est toute une histoire", poursuit l'heureux inconnu, "j'en reprends une autre", dit-il en ayant - nous semble-t-il - compris notre manège car la première photo zoomait sur notre buste tandis que la deuxième était un plan plus large de tout notre corps qui laissait entrevoir le sexe de Caro. 

L'excitation est à son comble lorsque nous démarrons. Les jambes sur le tableau de bord côté passager, Caro dévoile son sexe épilé et mes doigts glissent sans difficulté dans ses entrailles. J'attends avec impatience le prochain feu rouge dans l'espoir qu'un automobiliste se rince les yeux sur ce beau spectacle, mais Caro est gênée et recouvre son intimité prude à chaque fois.

A peine la porte de chez nous verrouillée,  je me jette littéralement sur ma femme pour lui dévorer la chatte. Son clitoris ne résiste pas aux coups de ma langue rapeuse.